АРХИТЕКТУРА. ДИЗАЙН
УДК 711.168
EVOLUTION OF CONCEPT OF «MASS HOUSING PROJECT» IN THE CONTEXT OF FRENCH IDEAS IN HOUSING POLICY OF THE USSR
P.A. Dorofeev, E.V. Khokhrin
Preparing the article and help with translation Tewfik Guerroudj, principal of SARL «L'artisan urbaniste» bureau Nicolas Gatuingt, professional integration adviser Bruno Plougastel, web projects editor
In the article analyzes mutual influence of architectural and urban concepts of France and the USSR. Article explained prerequisites of becoming «Khrushchev minimalism». Article proves the fact of parallel of Soviet concepts of housing to innovative ideas in the field of mass housing construction of the XX century. In the article stated «relationship» of compositional methods of planning districts and residential areas of Irkutsk with leading ideas of France and Netherlands. Here is highlighted the problem of finding an optimal solution over the coming time of a new wave of housing construction industrialization.
Key words: «Mass housing», housing concepts, typification, district, construction industrialization.
Chaque époque a son charme et absorbe toute la saveur de la vie socio-économique, politique, scientifique et technologique. L'évolution des conceptions, comme le miroir historique, reflète les transitions : de la société agraire à l'industrie, de l'industrie à la société de l'information du XXe siècle et enfin, au temps des nouvelles technologies bioclimatiques.
L'idée de «logement de masse» occupe une place spéciale dans l'histoire mondiale de l'architecture et l'urbanisme. Ce concept a été le moteur d'améliorations considérables des conditions sanitaires de vie et a augmenté le confort de vie au cours de la période d'avant-guerre de l'instabilité économique, et aussi au temps de la reprise de l'économie de la période d'après-guerre.
Le caractère massif international des idées avancées devient la tendance principale dans la politique d'habitat tant à l'Occident capitaliste, (de la période de l'entre deux guerres à 1960 surtout pour la France, les Pays Bas, l'Allemagne et un peu moins pour les brutalistes britaniques, pour l'Espagne les Etats-Unis des années 1960-1970) qu'à l'Union soviétique socialiste. Il est faux de penser que «le minimalisme de Khrouchtchev» est une dégradation du processus architectural d'évolution en URSS. Ce courant venait dans le pays de l'extérieur et était imposé par les leaders politiques soviétiques. Cela devenait possible grâce au consentement implicite des représentants de l'élite d'architecture qui avaient été les milieux d'architecture dans le gouvernement général. D'autre part, la corrélation entre l'influence du «produit apporté» et du «produit d'avant-garde» au niveau national durant les années 1920 présentait un intérêt particulier pour l'étude.
A la même période, on a vu venir une «nouvelle architecture». La position des fonctionnalistes français se renforçait avec leur leader le plus connu: Charles-Edouard Jeanneret-Gris «dit Le Corbusier». Selon les auteurs, l'interdépendance entre l'architecture et des concepts de planification urbaine de la France et de l'Union soviétique a été la plus intense. Par exemple, ont été conçus les centres de nouvelles idées sur la vie, qui, dans le premier cas ont été une réaction naturelle à l'évolution des décisions technologiques, dans le second, un revirement révolutionnaire et la mise en place des dogmes idéologiques de l'élite du Parti.
En analysant l'histoire de l'architecture et de la planification urbaine depuis les années 1920, on peut suivre l'osmose de l'évolution des idées des deux pays sur le schéma des liens conceptuels entre la France et l'URSS (image 1).
En France et dans l'Union soviétique, la construction de cités pour les ouvriers s'appuya sur le concept de «cité-jardin». Mais dans l'URSS, le concept de «cité-jardin» s'est transformé en «ville-satellite», pour l'absence de l'autonomie économique. Au contraire, pour la France c'était les villes nouvelles finies.
La période des années 1920, s'est attachée à la réforme des principes de la planification de nouvelles colonies, c'est-à-dire la recherche conceptuelle de les méthodes de la planification socialiste des établissements et avec des changements sur les principes sociaux quant à la collectivisation de la vie quotidienne. Dans le même temps, on a voté la loi Cornudet en 1919 portant sur la création «des plans d'aménagement, d'embellissement et d'extension des villes françaises. Cela «a généralisé le permis de construire et instauré une autorisation pour le lotissement» [1, p.25].
La propagation des idées architecturales en opposition était typique pour les deux pays. Ainsi en France, le fonctionnalisme était avancé par Le Corbusier, R. Mallet-Stevens, E. Beaudoin, M. Lods, A. Lurçat, P. Abraham, P. Sharo, G. Pengyusson; ainsi que le rationalisme par I. Léonidov, K.S. Melnikov, N. Milutin, N.A. Ladovskiï et le constructivisme par A.A., L.A., V.A. Vesnine, M.Y. Ginsburg et bien d'autres qui avaient été développés dans l'Union soviétique. En comparant ces deux sources d'idées, on peut suivre la proximité du contenu conceptuel du côté des logements sociaux, l'extinction des unions professionnelles, la critique de leur activité et le conflit avec la direction de néo-classicisme.
En France, dans les années 1920-1930 la position du néo-classique est consacrée aux projets des villas privées. Par la suite, elle se durcit et devient une sorte de caractéristiques modifiées d'Auguste Perret, qui a activement commencé à utiliser ça dans des projets concrets néo-classique. Un exemple très connu d'un tel projet est la reconstruction du Havre où la composition française réglée se mêlaient avec la nouvelle approche des relations proportionnelles classiques de la planification de ville et de bâtiments.
Perret choisit le module uni qui mesurait 6,24 mètres. Cette quantité exprimait la tendance à l'unification. Avec cela il devint urgent que la ville ait l'espace classique des villes françaises traditionnelles.
A cette époque dans l'URSS, on a pu observer la même situation de contradiction de style entre le style avant-gardiste et néoclassicisme. Les tendances du néoclassicisme ont été renforcées par le Concours international pour le Palais des Soviets. Ainsi, dans les conditions de matériaux de construction et de la contradiction technologique on choisit le cours du «réalisme socialiste», en grande partie basé sur Le Corbusier de la Charte d'Athènes.
Il y a là un lien intéressant dans la relation des concepts de projets soviétiques, «maison-communes» et «maison des communes en transition» avec les projets de Le Corbusier. En étroite relation avec le projet «Cité Radieuse», «Marseille unité d'habitat» qui est une manifestation claire des similitudes idéologiques à l'égard de l'emplacement des rues «internes» dans la structure de certains secteurs de constructions résidentielles communes.
«Modulor», méthode des proportions élaborée dans les années de guerre - appliquée par Le Corbusier dans les cellules d'habitation de "unite Marseille", a été adoptée par les architectes et les constructeurs soviétiques. Cette méthode a développé les projets du «logement de masse» de la période Khrouchtchev. Par exemple, la règle de la hauteur sous plafond minimale a été empruntée à la pratique française de construction de logements sociaux.
En URSS, il y a eu une construction résidentielle typique qui a pris de l'ampleur dans les années 1950-1960, alors qu'en France furent critiqués les principes de la Charte d'Athènes et par conséquent les principes du fonctionnalisme.
»
era «
in n a-
rt>
3
^
s.
rt
<n |
o
s
«
s
3
S*
ft O
s
«
re
3
rt
Néoclassicisme
-■
_«jJ
projet individuel
contradiction de style
a
contradictions technologiques
"architecture cosmique"
projet type
projets-conceptions
Réalisme socialiste1
projet type
№ Ti
№ S
rt rt
is-2 s
Q ce
sa«
m 3. m s
■S"
S. S"
S.
»
3
rt S s. c* o-s
DOGME IDEOLOGIQUE
(URSS)
Rationalisme st rue tu ni)
EXPERIENCE (France)
•niIe-siMllite"
développement des matériaux de construction
■
"Maison-commune"
"Cité-jardin "
fonctionna iisme
"t il/e radieuse"
"Unité d'Habitation
* Marseille"
"Brézhnèvka"
X "Khroushchevka'
Modernisation des projets types
S
v»
11 = —
tn
E g
■o ^
o U
l-S
''Architecture de papier", projets-utopies
Développement (1 arable de territoire
critique des principes fonctionna liste s
socialisation et
individualisation
d'habitat
augmentation du développement technique et construct if
"Megastructure "
projets -utopies
réhabilitation, £ rénovation de construction y des années 1950-1960 s
>
73 X S H
CD <
-a
0)
la s
w 0)
z
"Urbanisme
écologique" A
L'aversion aux produits préfabriqués fonctionnels et l'envie des gens de créer eux même leur propre espace de vie ont été à la base de l'idée de participation en Europe occidentale. C'est l'activité de l'organisation: le Team Ten1.
Aussi, dans les années 1960, c'est le temps d'un rythme rapide des technologies et de l'ingénierie qui généra des projets utopiques d'architectes français tels que: J. Friedman, P. Maymont, E. Albert, J.-C. Bernard et d'autres. Ces projets ont été dirigés vers l'avenir lointain de suivre le rythme du progrès et des avancées technologiques. Cette orientation utopique a été dictée par la monotonie et la vie statique dans les «grands ensembles». Ces projets recherchent de nouvelles formes, on repense l'organisation sociale de nouvelles colonies. On imagine la possibilité de construire des villes sur l'eau, sous la forme de ponts, souterraines, dans l'espace aérien. Ceci a peut-être eu le prototype historique, en partie, à des projets d'avant-garde des années 1920 par les architectes soviétiques : G. T. Krutikov - projet «ville du futur» (1928), I. Yozefovitch - projet de Flying Palace des Soviets (1929), V. Kalmykov - projet «Saturne». Ces trois projets sont rapprochés par des solutions issues de l'ingénierie aérodynamique.
Et enfin, dans les années 1960-1970, le développement évolutif de la France et l'URSS prend des directions différentes. Le concept d'un plan ouvert caractérisant les deux pays, a été développé dans les années 1950. En France en 1970, il a été complété=par le concept de la «mégastructure» de ville, une immense maison, la ville. Au même moment, beaucoup d'architectes français, utilisent le principe de «maison-pyramide» qui est appliqué dès les années 1920 par Henri Sauvage. Par ailleurs, les architectes accordent une grande attention aux principes de la construction d'un environnement résidentiel. Cette nouvelle vision pour le milieu de vie est caractérisée par des villes-satellites nouvelles à Paris, en particulier, Evry et Cergy-Pontoise.
Galeries, rampes, escaliers ont été pensés soigneusement pour une meilleure circulation piétonne dans un quartier d'habitat. On développe activement les commerces et bureaux dans la continuité des passages piétons. Un ensemble compact de «mégastructures» constitue une nouvelle approche de l'amélioration des banlieues et une vision en trois dimensions de l'espace de vie.
Toutefois, la tendance générale aux agrandissements, schématisme et la massivité des bâtiments, dans une certaine mesure, par la stylistique du brutalisme, rendent lourde la perception visuelle. C'est pourquoi, il s'est répandu le concept du structuralisme, inspiré par l'ordre idéologique de la doctrine philosophique. Ce phénomène a connu différents courants qui ont améliorés les caractéristiques visuelles des nouveaux immeubles construits. Par exemple, on trouve des plans de maisons avec des contours courbes de nature ou avec la forme organique. Une tendance bien connue est « l'architecture de la couleur » ainsi que la convergence de l'architecture avec des arts comme la sculpture et la peinture - les sculptures dans les cours et les lieux publics, aux extrémités des maisons on trouve des peintures murales a l'effigie de visages connus. Notez que cette dernière pratique est souvent utilisée dans l'URSS. On utilise activement l'imagination des portraits de personnalités éminentes: de komsomol, de Parti ou publique comme un moyen d'augmenter l'expression de l'homogénéité des «grands ensembles».
En France, dans les années 1980-1990, la société a réfléchi à l'influence pernicieuse qu'a le milieu d'habitat des grands ensembles sur la qualité de la vie. Elle a travaillé à réhabiliter et rénover les constructions de la période 1950-1960.
En URSS, avant les années 1980, se développaient des projets modèles. Ils s'agrandissent vers le haut, devenant plus gros. Mais l'aménagement paysager des territoires résidentiels devenait la farce, en dépendant de GORZELENKHOZ (l'organisation qui s'était occupée de l'aménagement vert des villes) et en se transformant essentiellement en une procédure forcée du règlement et «un travail à compte» réglé conventionnel. Les architectes, se consacrent principalement à l'amélioration de l'agencement des plans modèles des immeubles, optimisant la
1 Team Ten - la groupe des jeunes architectes, qui ont pris part au X-ème Congrès international d'architecture moderne(CIAM), révisé le règlement de fonctionnalisme de la Charte d'Athènes pour l'architecture plus humaine
structure des superficies des logements selon le principe de «minimiser» des liens fonctionnels et répondre aux exigences des instances «conformant». L'évolution qualitive de l'espace résidentiel venait en phase de l'anabiose, en cedant la reproduction en masse des «mètres carrés» résidentiels.
On n'arrivait pas à créer l'impulsion créatrice pour de l'architecture soviétique par les idées des architectes «de papier» dans les années 1980. «Les tigres de l'architecture de papier» émergeaient au sommet de la troisième vague du modernisme en grande partie basée sur l'étude de l'avant-garde soviétique des années 1920. Ils dessinèrent des «villes de l'avenir», «fleuve du temps», style d'une époque lointaine de 2001, «pavillon de verre sur l'abîme» etc...pour les concours internationaux et les magazines étrangers. Et ils devinrent les lauréats de ces concours de fantaisie grâce à leurs idées. Les architectes «de papier» créèrent des dessins élégants, qui n'ont pas eu beaucoup d'idées architecturales, mais c'était un bon style graphique, un peu de philosophie, des citations de la poésie japonaise, et d'Ecclésiaste» [1].
Quant au développement d'écoles régionales soviétiques d'architecture, nous avons suivi l'exemple de la ville d'Irkoutsk.
Dans les années 1960-1970, la vague du néo-modernisme à Irkoutsk était l'un des chapitres les plus intéressants de son histoire architecturale.
La «Renaissance d'Irkoutsk» a marché avec son siècle avec les brutalistes britanniques, les métabolistes japonais, les structuralistes hollandais et les célèbres américains - L. Kahn, et P. Rudolf. Elle a réussi à préserver ce qui est clairement visible aujourd'hui: l'indépendance, l'originalité et la spécificité, tel que le veut le «régionalisme».
Le régionalisme d'Irkoutsk, c'est le produit du patrimoine, du constructivisme russe et du suprématisme, au climat sévère. Les exigences formelles des éléments préfabriqués, la modularité et industrielles et la pauvreté des moyens d'expression dûe à l'utilisation des panneaux préfabriqués sont toutes les difficultés qui ont été habilement transformées de la pénurie en mérites» [2, p.29].
On notera en particulier l'origine de certains concepts des structures résidentielles d'Irkoutsk dans les années 1970-1980. Selon le témoin de l'architecte émérite de la Russie, Vladimir F. Bukh, les architectes créateurs des projets des quartiers d'Irkoutsk, ont essayé de s'aligner sur l'expérience des pays étrangers: la France, les Pays-Bas, la Suède, la GrandeBretagne et les États-Unis. Cependant, la plupart montrent clairement l'influence des Français et l'expérience néerlandaise.
Le Quartier Baïkalskiï a une composition claire et simple, avec un contraste des immeubles préfabriqués standardisés et une forte personnalité des immeubles en brique et de la résidence universitaire de Vladimir.A. Pavlov. On peut retrouver la formation significative en «buisson» des immeubles résidentiels que caractérise le modèle néerlandais des systèmes de groupes résidentiels (image 2).
Les zones résidentielles telles que Universitètskiï, Pervomaiskiï, Solnétchnyï sont des structures d'habitat unique simulant la méthode de «lignes de la construction ininterrompues». Pourtant, la continuité de la construction composée de la réitération infinie des mêmes accents d'architecture n'a pas créé un effet très esthétique. Cette méthode n'a pas fait le résultat escompté, au contraire cela l'a mené à une idée principalement monotone et à la construction inexpressive et triste de grands territoires de ville.
Les quartiers d'Universitètskiï - immeubles compacts en formes de «lignes» ininterrompues, de courbes variées, sont organisés «ingénieusement» avec des arcs - passages et cours difficiles ayant quelques niveaux.
Légende: --y^- axe de composition principale disposition "de buisson" des barres tvpes dominante gratte-ciel
^ projet individuel de résidence, immeubles - limites visuélles
contrast du logement individuel et type stabilisation les frontières visuelles
axes piétonnes y position centrale de l'école
Image 2. Schéma de corrélation des expériences de Pays-Bas et d'Irkoutsk, un des modèles des résidences «exemplaires» (Pays-Bas) et le consept de planification du quartier Baïkalskiï, Irkoutsk (Russie)
Ce principe de la construction très compacte à titre des structures ininterrompues était très répandu dans la pratique internationale. A notre avis, le plan-masse du quartier du Mirail de Toulouse des années 1960, créé par les architectes G. Candilis, P. Doney, A. Zhozik, S. Woods, H. Pugh, D. François est le prototype idéologique d'un projet de planification du quartier d'Universitètskiï (image 3).
Image 3. Schéma de corrélation des expériences de France et d'Irkoutsk, le fragment du plan-masse du quartier du Mirail, Toulouse (France) - au dessus, des quartiers du d'Universitètskiï, Irkoutsk (Russie)
Ainsi, nous pouvons observer certaine «implication» de l'école urbaine d'Irkoutsk des années 1970-1980 dans les tendances mondiales de son temps.
En analysant l'évolution des méthodes pour l'habitat, on peut imaginer l'étape suivante dans le développement de l'architecture résidentielle d'Irkoursk. Cela sera le travail à grande échelle de la réhabilitation de l'espace des constructions des années 1960. En France, ce phénomène avait lieu il y a dix-vingt années. Aujourd'hui, la France, comme beaucoup d'autres pays européens, se soucie de la conservation de l'énergie électrique, du respect de l'environnement, à savoir respecter les principes du développement durable des zones occupées, une position centrale dans la conception du cadre de vie.
Le problème quantitatif et qualitatif de l'approvisionnement en logements reste critique à l'heure actuelle en Russie. En vue du vieillissement moral et physique des bâtiments des premiers projets types, il est temps de lancer une nouvelle vague de rationalisation du logement. Adoptée
en 1950-1960, la première de son étape - industrielle, est la fabrication d'immeubles modèles. La seconde - postindustrielle, est caractérisée aujourd'hui par un mélange de différents projets types [4].
Aujourd'hui, à l'ère de l'information, l'importance est de créer des principes novateurs de la conception du cadre de vie. Ces principes devraient constituer une approche individuelle à chaque client, afin de ralentir le vieillissement des bâtiments. La solution à ce problème reflète des recherches conceptuelles actuelles dans le monde entier. Dans le même temps, on identifie des étapes similaires dans l'évolution de vues avec la France qui peuvent aider à déterminer quelles seront les prochaines étapes pour converger vers un espace résidentiel en Russie. L'idée principale pour une nouvelle vague de post-industrialisation de la construction devrait être basée sur des principes de l'architecture mobile et éco-logique, sur la transformation de module, l'intégrité de composition et développement durable de la forme d'architecture et urbaine, où chaque individu aura la possibilité de créer son propre espace de vie unique.
OUVRAGES CITES
1. Guerroudj T. Pourquoi faire de l'urbanisme? préface de Francis Cuillier, Éditions confluences, 2011.
2. Kabanova O. Narisuem - budem zhit'. Ezhenedel'nyj obwestvenno-politicheskij zhurnal «Ogonek», № 52 URL: http://www.ogoniok.com/archive/2004/4859/32-49-51 / (data obrawenija 27.05.2012).
3. Bokov A. Vladimir Pavlov/ Vladimir Pavlov, zhurnal «Proekt Bajkal», 2010, № 26.
4. Kijanenko K.V. Vojti v reku industrializacii 2: poisk al'ternativ massovomu zhiliwn-omu stroitel'stvu // Zhurnal «Arhitekturnyj Vestnik», 2009, № 1 (106).
5. Baranov N.V. Vseobwaja istorija arhitektury v 12 tomah. Arhitektura SSSR, 12 kniga, M., Strojizdat, 1975.
6. Baranov N.V. Vseobwaja istorija arhitektury v 12 tomah. Arhitektura kapitalistich-eskih stran, 11 kniga, M., Strojizdat, 1975.
7. Solov'ev N.K., Turchin V.S., Firsanov V.M. Sovremennaja arhitektura Francii, M., -Strojizdat, 1981.
Information about the authors
Dorofeev P.A., Post-graduate, Architecture and Urban Development Department, architect of DGP, Irkutskgiprodornii, e-mail: pavel-intstar@mail.ru.
Khokhrin E.V., associate professor, Head of Architecture Projection Department, tel.: (3952) 40-51-56, e-mail: hohrin@gmail.com; Irkutsk State Technical University, 83 Lermontov St., Irkutsk, 664074.
УДК 711.4: 658.5 (075.8)
ФОРМИРОВАНИЕ ЦЕЛЕВОГО РЫНКА УСЛУГ ПО РАЗРАБОТКЕ И РЕАЛИЗАЦИИ ПРОЕКТОВ ЛАНДШАФТНОГО ДИЗАЙНА ПРИУСАДЕБНЫХ
УЧАСТКОВ
Б.М. Вяткина, О.В. Гетманченко
Рассмотрены некоторые теоретические аспекты профессиональной деятельности дизайнеров архитектурной среды в условиях обострившейся рыночной конкуренции. На примере архитектурно-ландшафтного бюро «ГеоПарк» проанализирован опыт маркетинговой деятельности фирмы по производству и реализации проектов ландшафтного дизай-